Collection Jeune – Vieux. L’Étudiant En Médecine (2/2)

• Tu permets !

Ce sont les deux mots que prononce Jocelin jeune étudiant en cinquième année de médecine.
J’ai accepté de lui louer la chambre que Jean m’a fait promettre de créer après sa mort d’un cancer du poumon.
Il fumait énormément jusqu’à trois paquets par jour.
Le cancer l’a rattrapé et lorsque je me retrouve seule dans la chambre de Jocelin, en bon praticien qu’il est déjà, il remarque l’anxiété qui marque mon visage.
Cet après-midi, je passe une mammographie, j’espère que j’échapperais au cancer.
Il me propose de me palper pour me rassurer, cela l’aidera dans sa formation.
Ses mains m’émoustillent pour la première fois depuis des années.
Toujours plus entreprenant sans que j’y trouve à y redire, pour moi je suis dans les mains d’un médecin, il me propose un toucher vaginal qui lui aussi lui serait utile.
Il finit de me dévêtir et me plaçant les fesses au bord de son lit, il m’introduit deux doigts.
Je me mets à ruisseler, ce que j’avais oublié depuis bien longtemps.
C’est à ce moment qu’il prononce ces deux mots.

• Tu permets !

Inutile de permettre, ses doigts sont remplacés par sa bouche qu’il pose sur mes lèvres les écartant pour trouver la partie de moi dont j’ignorais qu’elles étaient encore si sensibles.
Il faut que je reconnaisse que Jean expédiait les caresses préliminaires.
Je sentais les moments où il était chaud lorsqu’il regardait son paquet de cigarettes, hésitant entre moi et lui.
Une légère masturbation, une chemise de nuit qui se soulevait et un coup de rein pour me pénétrer.
En moins de temps qu’il en faut pour une clope, il se vidait en moi me laissant frustrée la plupart des fois.
J’allais le quitter pour aller voir ailleurs si le ciel était plus bleu, mais la maladie a frappé et après la force de l’habitude a guidé ma vie jusqu’à aujourd’hui.
Sa langue le trouve, celui que je caressais étant jeune malgré les foudres proférés par ma mère et le curé, si j’avais des penchants déviants.


Mon clito doit être dur comme la lame d’une épée, mais rapidement je sens ce que j’ai rarement ressenti la jouissance montante du fond de moi.
J’atteins l’absolu, l’orgasme simplement avec la bouche et les lèvres de ce jeune impertinent.
Je dois être dans une position indécente pour une quinquagénaire, les jambes en l’air la chatte offerte à ce jeune homme qui aurait pu être mon petit-fils, si j’avais eu des s.

Je suis sur un nuage surtout quand je sais ce qui va suivre, mais Chris71 va faire plaisir aux nombreuses lectrices qui lui parlent de capotes chaque fois que l’une de ses héroïnes baise sans et se retrouve enceinte.

J’ai joui et je suis ménopausée, mais le sida est toujours présent même si ses pères en médecine ont déjà réussi à empêcher ce virus sexuel de ceux qui se font contaminer.
Jocelin att une petite pochette carrée sur sa table de travail.
C’est la première fois que je vois de mes yeux une capote dans son étui.
Il le déchire avec ses dents et récupère l’objet rond enroulé sur lui-même.
Il le place sur sa verge entièrement tendue.
Malgré mon âge indécent, comparé au sien, je me laisse séduire au lieu de ruer dans les brancards comme devrait le faire toutes les femmes ayant deux poils de bon sens.
Un, poil, c’est le nombre que je dois avoir.
D’autres peut-être auraient eu le bon nombre, mais après dix ans à avoir oublié que je pouvais séduire, j’accepte de devenir une vieille femme indigne
La capote déroulée, je le vois s’approcher.

• Oui, prends-moi, ta bouche m’a fait jouir, je sens que ta verge va me transporter.

C’est la première fois que je sens mon corps être rempli par cette verge qui glisse sans aucun problème en moi.
Je suis tout près de penser que pour la première fois, je m’exprime au moment de faire l’amour.
Je suis trempée alors que souvent avec mon mari, j’étais sèche à m’en faire mal.
Il est sportif et c’est sur ses bras tendus, mes jambes placées sur ses épaules qu’il me laboure.

On peut sans se tromper, dire que je suis une terre vierge et qu’à partir du moment ou je suis sienne, il me façonne suivant son bon vouloir.
J’apprends des mots que mes petites filles, si j’avais eu un , apprendraient presque dès le berceau.
Bites, chattes, ça je connais.
Levrette, cunnilingus, fellation, prise par-derrière ou à la cuillère, je les découvre.
Ce qui est sûr, c’est que, chaque fois il me fait jouir.
C’est sans le moindre remords que nous vivons nos moments intimes sans pour moi me poser maintenant la moindre question.
Je reconnais même que je suis une salope qui s’assume.
Il en veut, j’en redemande, sans pour autant le perturber dans ses études.

Ce matin, je suis prête lorsque nous déjeunons ensemble.
Il est assis dans la cuisine et je m’approche.
Il passe sa main sous ma robe démarrant immanquablement mon envie.
Non, mon besoin de sexe.
J’ai commandé un taxi, j’ai vingt minutes à lui consacrer.
Il est en slip, tenue qu’il a souvent quand nous sommes tous les deux.
Je sors sa verge, et je la prends en bouche.
J’aime lécher son gland et finir avec ses grosses couilles que je lèche aussi, car ma bouche est trop petite, je pourrais peut-être les faire entrer, mais je risquerais de finir étouffé.
J’ai juste le temps d’écarter ma petite culotte et divinement il me plante me faisant monter au septième ciel.
En avance puis en retard lorsque je prends mon taxi pour la gare, je sens son sperme couler.
Grâce à lui, j’emporte mon amant en moi tout au long de mon séjour chez ma sœur qui m’a appelé étant alitée avec 40 de fièvre.
Certaines midinettes refusent de se laver la main de celui qui a posé sa signature.
Moi c’est ma chatte, qui est remplie de cette substance que j’ai appris à aimer avaler, restera en moi.
Merde la capote, pardon chère lectrice...

Je retrouve ma petite sœur que je soigne.
Elle me trouve épanoui.

Bon, j’ai de l’hygiène, sous la douche, même s’il me manque et ce sont les jets de la douche qui me calme un peu.
Je suis partie rapidement à son appel et je rentre tout autant quand étant guéri et que foncièrement nos caractères finissent par s’opposer, je suis de retour.
J’ai déposé ma valise quand j’entends sur ma tête du bruit.
Mon amant est là après six jours d’absence.
Il me faut l’embrasser quand arrivant à l’étage, j’entends deux voix de mâle dont celui de Jocelin.
La porte est ouverte, il se sentait en sécurité et devant mes yeux effarés, Jocelin se fait sodomiser par un autre homme du même âge que lui.
J’ignorais bien des choses sur le sexe avant qu’il me prenne en main, mais un homme pilonnant le cul d’un autre, je connais les mots.
Le parquet craque, Jocelin tourne sa tête.
Ses yeux sont révulsés et d’un coup les deux cris leur plaisir.
La verge de son amant ressort couverte de ce sperme dégoulinant.

À là, ils baisent sans capote, je dois reconnaître que Chris m’avait suivi en Auvergne et que ces deux hommes baisent sans.
Je vais pour redescendre, qui suis-je et quel droit ai-je sur ce garçon.
Il aime les hommes et alors, à cinquante ans, vais-je devenir moraliste ?
C’est la voix essoufflée, que me voyant, j’entends.

• Ariel, tu es entrée, entre que je te présente Philippe, tous nous l’appelons Phil à la fac et dans les hôpitaux.

J’aurais dû fuir, une première fois la verge qui a réveillé en moi mon instinct de femelle primitive, même si c’est si bon, alors je rentre.
Il saute du lit, nu et me prend dans ses bras.
Je vois le dénommé Phil se lever, lui aussi.
Venant dernière moi, son sexe encore tendue m’enlace me faisant sentir son envie.
Il passe sa main entre nos trois corps et la glisse dans mon chemisier.
Je voudrais dire, non, ma bouche dit, oui, à la bouche à qui je rends l’embrasement de nos langues.
Je voudrais dire, non, mais mon sein dit, oui, à la main qui fait bander mon téton.


Nos, comment me suis-je retrouvée nue, il faudra m’expliquer, mais je le suis.
La bouche dans ma bouche est remplacée par une bite dans cette même bouche et ma chatte est remplie d’une bite qui me fouille et qui m’apporte l’orgasme des orgasmes.

D’un duo, nous nous trouvons à former un trio dans les heures et les jours suivants.
Qui me prend, peu importe, je suis une chienne, je suis leur chienne.
Le temps passe, nous vivons tous les trois en tout bien tout honneur pour mon entourage.
Nous sommes trois dans nos deux étages, mais jamais à l’extérieur.
Quand nous sommes dans ma salle de séjour, lorsque mes deux amants ont fini leur labeur, les examens de fin d’étude approchant, j’adore les regarder se sucer en 69.
Ils viennent vers moi pour que j’ouvre ma bouche pour qu’ils déversent leurs semences, avant que j’avale goulument.

Ce soir, c’était mon anniversaire.
Ils m’ont offert une soirée sexe.
Pour la première fois, et changeant pour me faire voir qu’ils sont maîtres de mon corps, ils me prennent en double pénétration.
Nous avons fait le petit train, je faisais la loco et Phil et Jocelin les wagons.

Voilà, ils avaient en commun leurs sexes et mon sexe, mais aussi de pratiquer la médecine ensemble.
J’ai fait des travaux dans mon ancienne boutique de chaussures.
Deux cabinets médicaux, une salle d’attente et un coin repos ou ils peuvent boire du café chaud ou des boissons froides, grâce à un frigo.
J’entretiens tout ça comme ils entretiennent ma libido.
J’ignore si cela durera, seul Dieu à mon âge le sait, mais moi j’en profite un maximum.

Note de Chris71.

« Dans ces dernières lignes et la débauche sexuelle d’Ariel, Jocelin et Phil, les capotes sont inexistants.
Les trois amants ont fait un test sanguin.
Tout va bien, RAS. »

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